Rue Cases-Nègres
Basée sur cette première partie visionnée en classe vendredi, écrivez une revue critique du film. Dans votre critique, décrivez la société martiniquaise dans les années 1930s et faites une comparaison avec la nouvelle étudiée en classe. Mettez votre travail dans les commentaires du cours et n’hésitez pas à répondre aux commentaires de vos camarades de classe.
Le film “Rues Cases Negres” est une représentation historique de la société martiniquaise dans les années 1930s. Les gens ne sont pas esclaves mais ils sont très pauvres. Ils n’ont pas beaucoup de nourriture et ils habitent dans cases près de plantation. Tout travaille sur la plantation de canne sucre. Les enfants vont à l’école en ordre à partir le village et la plantation, mais c’est difficile. Dans la nouvelle « Le syllabaire » Aristide et Théodamise habitent dans un village qui voir le même. Ils sont pauvres et Théodamise travaille dans une plantation de canne sucre. Aristide va à l’école en ordre à partir le village et trouver un bon travail. La nouvelle est comme le actualité.
RépondreSupprimer(Jill)
Très bonne Jill!
SupprimerLe film, "Rues Cases Negres" est une bonne représentation de la société en Martinique pendent l’année 1930. Les gens qui vivent dans ce petit village en Martinique travaillent dans une plantation de canne sucre. Ils ne sont pas, mais leur vie ne semble pas être beaucoup mieux. Ils sont extrêmement pauvres. Les enfants dans ce village vont à l'école dans le but de se préparer à un emploi du gouvernement qui va les aider à quitter le village et de plantation. L'éducation est une ressource très importante dans cette histoire. Dans l'histoire « Le Syllabaire, » Théodamise travaille aussi pour une plantation. Elle est très pauvre et se bat pour acheter un livre pour son enfant. Les deux histoires sont similaires et les deux montrent la triste situation de ces travailleurs des plantations vivent.
RépondreSupprimerLe film « Rue Casses Negres » représente la société martiniquaise dans les années 1930s. Il y a les employés noirs qui travaillent sur la plantation de la canne à sucre. Pendant qu’ils travaillent, ils sont regardés par les superviseurs noirs et blancs. Leurs enfants restent toute la journée à leurs maisons, qui sont les cases. La nouvelle « Le Syllabaire » est très similaire. D’abord, Il était écrit par la même personne. Aussi, il y a une disparité contre les blancs et noirs et même dedans les noirs. Aussi, l’éducation est montrée être très important dans la société pour s’avancer.
RépondreSupprimer-Stefan :)
Dans le deuxième parti de “Rue Cases Negres” José reçoit une bourse d’étude pour une école dans Fort-de-France. Mais, quand il arrive l’école dit qu’il est une bourse pour seulement ¼ des frais de scolarité. Sa grand-mère lui promit à gagner l’argent afin qu’il peut étudie à cet école. Finalement, l’école donne José une bourse d’étude pour tous des frais de scolarité. Dans la nouvelle « Le syllabaire » Aristide n’a pas l’argent pour acheter un livre pour l’école mais sa mère lui promit à l’acheter le dimanche prochain. Aussi, le film finit avec la grand-mère de José morte mais il y a espérance parce qu’il va continuer étudier afin qu’il peut trouver un bon travail. Dans la nouvelle, cette finit avec la promesse et il y a espérance parce que la mère va aider son fils avec l’école afin qu’il peut trouver un bon travail. Les deux sont similaires avec l’argent et l’espérance.
RépondreSupprimerDans le deuxième parti de « Rue Cases Negres » José se prépare à un test qui va lui permettre de fréquenter une école à Fort-de-France. Il passe l’examen et est admis à l'école, mais le problème est qu'il n'a pas l'argent pour les frais de scolarité. Mais la grandmère de José promit à recevoir l’argent. Dans « Le Syllabaire » la mère n’a pas l’argent pour une livre pour Aristide à utilise en l’école, mais elle aussi promit à acheter le livre. Les deux personnages promirent les choses pour l’école. « Rue Cases Negres » montre aussi la discrimination présente en Martinique plus clairement que dans « Le Syllabaoire. » Je pense « Rue Cases Negres » est très descriptif de le expérience pour ces personnages en Martinique.
RépondreSupprimerLe film "Rues Cases Negres" reçoit la histoire du garçon martiniquais, et sa famille et sa société. José Hassam est un garçon très intelligent, mais aussi qu'il est un orphelin pauvre. Dans la premiere partie, il cherche la sagesse d'ancien du village, Medouze. Medouze lui dit de l'esclavage en Afrique, et comment il y ira quand il mort. Un nuit, Medouze disparaît; José trouve son corps dans la canne de sucre. Deuil son mort, José ésperé devenir de sage qu'il était. Dans le deuxieme parti, il passe l'examen important et est accepté à l'école en Fort-de-France. Mais, initialement, sa grand-mère n'a pas plus d'argent. Toutefois, avec un bon essai de José, elle recevoit l'argent. Comme "Le Syllabaire", la famille de José est très pauvre, et elle peux à peine se permettre les frais de scolarite. Les deux histoires sont très representifs des personnages pauvres et martiniquaises.
RépondreSupprimerDans la dexuième partie du film « Rue casses nègres », montre comment Jose prend un examen pour gagner une bourse d’étude au Fort-de-France. Mais, il est toujours pauvre, et la bourse est seulement pour ¼ de ses frais. Alors, sa grand-mère doit travailler les jours plus longs, pour que Jose peut aller à l’école et avoir un meilleur avenir. Les autres étudiants sont plus riches que Jose et ils ont un style de vie pompeux. Dans le syllabaire, Aristide ne gagne pas un bourse d’étude. Mais, juste comme Théodamise doit travailler pour soutenir Aristide, la grand-mère de Jose doit travailler durement aussi. Les deux enfants dans les deux histoires sont aussi surpris par le style de vie des békés aux villes de Martinique.
RépondreSupprimer-Stefan
Le film Rue Cases-Nègres est une représentation historique de La Société et la vie quotidienne Dans les ânes 1930. Les personnages de ce film ont une grande ressemblance avec esclaves mais ils ne sont pas. Ils travaillent tout simplement longues heures dans conditions horribles. Ils payés très mal et peine faire assez à manger pour eux mêmes et leurs enfants. Les adultes travaillent dans la plantation de canne sucre. Les enfants fréquentent l’école où beaucoup ne prennent pas leur éducation sérieuse. Le personnage principal sont José qui vit avec sa grand mère Mme Matine. Elle veut le meilleur pour son petit fils est très stricte effet sur lui. Ce film ressemble l'histoire le Syllabaire avec Aristide et Théodamise.
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RépondreSupprimerDans la deuxième partie du film M. Médouze meurt raison des conditions difficiles il travaillait et de vieillesse. Alors que baignade dans la rivière José et Leopold, Monsieur De Thorail vient et dit Léopold il ne peut pas être amis avec José. Comme il est accroche alors le cheval loin le cheval frappe Monsieur De. Thorail et il meurt plus tard avant donner son nom famille a Leopold depuis qu'il est blanc et Leopold est noir. José Hassam est très intelligent et il passe un examen où il se choisit pour représenter l'école à Fort-de-France. Il passe le deuxième examen et est accepté d'aller à l’école là bas. Il obtient ¼ d'une bourse où il doit payer 87.50 francs par trimestre. Sa grand mère et lui déménagent au forte-de-France où ils vivent dans une petite maison comme ils faisaient en Martinique. Plus tard il fait d’obstacles mais révèle être très intelligent où il reçoit plus tard une bourse études ainsi frais subsistance complets. A la fin du film la grand mère meurt et nous voyons José laver ses pieds, il est très triste.
Voici mes deux réponses. J'ai eu des difficultés quand je les ai postés.
RépondreSupprimerPendant les années 1930, la vie à la Martinique était dure pour les travailleurs aux plantations de sucre. La majorité de travailleurs aux plantations étaient les noirs. Les békés (les blancs) étaient les patrons de plantation. Une comparaison entre le film "Rue Cases-Nègres" et la nouvelle "Le Syllabaire" est que les deux sont les histoires d'un enfant nègre et sa mère/figure maternelle. Aussi, la mère/figure maternelle travail sur une plantation du sucre et elle ne gagne presque pas d'argent. L'enfant dans les deux œuvres gagne une opportunité d'aller à l'école et le prix est cher pour la mère/figure maternelle. Dans le film, la ville est associée positivement, c’est un rêve entre les enfants d’aller à la Fort-de-France. Par contre, dans l’histoire, la ville est associée négativement.
Dans la deuxième partie de "Rue Cases Nègres," Ma'Tine est malade et José était choisi de prendre l'examen scholaire à la Fort-de-France. José a réussi l'examen et il commence l'école. Mais il y a un obstacle pour Ma'Tine: au début, l'école donne une petite bourse et elle doit payer 87.50 francs, beaucoup d'argent pour elle. Mais, lentement, tous changent. José écrit un essai et le prof est choqué parce que c'est rare d'avoir un élève très intelligent dans cet école. Mais, le prof se rend compte qu'il était tort et l'école donne une bourse complète pour José. C'est très bon, mais Ma'Tine est très malade et elle va mourrir. Puis, José apprend que Léopold était arrêté après il est sorti de la maison après son père est mort. José va pour voir Léopold pour la dernière fois. Mais quand il revient à la maison, Ma'Tine est morte. En comparaison avec Le Syllabaire, il y a de l'espoir pour l'avenir pour les personnages. Dans "Rue Cases Nègres," José dit à la fin: "Demain je vais revenir à la Fort de France." Dans "Le Syllabaire," Théodamise répète: Dimanche prochain," qu'elle et Aristide vont revenir pour acheter le livre. Une différence dans les deux histoires est l'image de La Fort de France. Dans "Rue Cases Nègres, elle est associée comme une paradis. Dans "Le Syllabaire," il y a un image négatif. À la fin des deux histoires, un des personnages dit qu'ils ont de l'espoir pour l'avenir.